Lettre d’information d’avril 2013
Article mis en ligne le 23 avril 2013
dernière modification le 20 août 2013

Actualités de Veille au grain

Adeline DEILLER est arrivée chez nous pour effectuer une mission de 6 mois en service civique, nous lui souhaitons la bienvenue !

L’émission de radio Cultivons la vie continue sur RCF Parabole. En avril ce sont les cantines bio qui sont à l’honneur ! Vous pouvez réécouter toutes ces émissions à votre convenance sur notre site.

Actualités bourguignonnes

La Ville de Quetigny (Côte d’Or) a signé son Agenda 21 le samedi 6 avril. Une grande kermesse était organisée pour l’occasion avec de nombreux stands. Veille au grain était témoin de cet événement ! bienpublic.com

Les enjeux de l’eau sur le bassin de la Tille , par Julien MOREAU, Coordinateur du SAGE de la Tille, EPTB Saône / Doubs
« Nous sommes tous, chacun à notre échelle, des usagers mais aussi des acteurs de l’eau. La gestion de cette ressource essentielle et vitale relève donc d’une responsabilité collective. C’est pourquoi les principaux acteurs concernés, réunis au sein de la Commission Locale de l’Eau (CLE), se sont engagés dans l’élaboration d’une politique locale de gestion concertée de l’eau.
L’ambition fondamentale qui guide la CLE est de répondre à la question suivante : Comment concilier « développement économique, aménagement du territoire et gestion durable des ressources en eau et des milieux aquatiques » ?
Dans ce contexte, votre regard, vos besoins et vos attentes sur l’eau nous intéressent ! Ils constituent de précieuses informations qui nous permettrons d’élaborer en conscience une véritable politique de gestion intégrée et concertée de l’eau à l’échelle du territoire.
Nous vous remercions donc par avance des quelques minutes que vous accorderez au court questionnaire suivant :

Sondage relatif au bassin de la Tille

Retrouvez les événements régionaux sur la carte en page d’accueil de ce site !

OGM

Nous avons plus besoin des abeilles que des OGM !

Cette pétition est toujours d’actualité, merci de continuer à la faire circuler !

France

En France, selon Dominique LANGLOIS, le patron d’Interbev, « les animaux ne mangent pas d’OGM ». C’est oublier que tant que rien n’est écrit sur l’étiquette, toutes les suppositions sont permises.
La problématique des OGM a été reléguée à un second plan de l’actualité ces dernières semaines : le printemps est là et les inquiétudes se portent plutôt sur les dégâts potentiels des pesticides cet été. Heureusement que quelques élus se soucient encore de ce sujet, en témoigne la question posée par Brigitte ALLAIN au Gouvernement pour demander immédiatement « une évaluation indépendante et complète des OGM », évaluation qui pour le moment laisse à désirer, notamment pour le soja importé massivement pour nourrir le bétail européen.

L’étude de Gilles-Eric SERALINI, dont on n’entend presque plus parler, a pourtant été validée par un membre de l’Académie des sciences. Un tel soutien n’est pas de trop après la tempête de dénigrement que cette étude a subi, dénigrement très probablement orchestré dans l’ombre par les firmes productrices de pesticides car, notre parrain Jacques TESTART l’a rappelé récemment à la radio : « les OGM profitent aux producteurs de pesticides ! ».
Ces producteurs d’OGM et de pesticides n’ont de cesse de chercher à s’approprier le vivant, à commencer par les semences de tout ce que nous mangeons. L’association Kokopelli craint d’ailleurs que la loi du 8 décembre 2011, dite « loi COV », loi pour laquelle le groupe écologiste au Sénat a rappelé son opposition car elle représente un pas de plus vers la privatisation du vivant, ne soit bientôt appliquée…

Suisse

En matière de semences, Syngenta et Monsanto contrôlent à eux deux plus de la moitié du marché européen sur certains légumes, « et les consommateurs ne sont pas en mesure de faire un choix éclairé, faute d’indications sur l’origine des variétés présentes sur les étals », déplore l’ONG Swissaid. La Suisse, bien qu’ayant prolongé son moratoire sur les OGM, ne peut pas se passer d’acheter des semences de légumes…

Etats-Unis

Outre Atlantique l’actualité autour des OGM est dense, notamment à cause de la loi adoptée début avril (co-rédigée par Monsanto !) qui place lesOGM au-dessus de la Justice américaine et « autorise les semenciers à cultiver et vendre n’importe quel OGM, y compris ceux pour lesquels il existerait des preuves de toxicité »…
Monsanto qui joue actuellement gros dans un procès contre un fermier arbitré mardi par la Cour suprême des Etats-Unis « qui met en jeu la propriété intellectuelle de ses graines transgéniques. » C’est bien évidemment encore et toujours la sacro-sainte Recherche pour le bien de l’Humanité (et de son économie !) qui est mise en avant par le géant de l’agro-chimie !

Pesticides

Abeilles

Bien que la toxicité des néonicotinoïdes sur les abeilles soit désormais avérée, l’Union Européenne reste divisée sur leur interdiction et tarde donc à prendre des décisions qui s’imposeraient pourtant ! Une absence de décision que la FNE juge « scandaleuse ». Greenpeace appelle également à des actions immédiates de la part de l’Europe pour sauver ces « précieux pollinisateurs ». Les apiculteurs qui voient leurs abeilles mourir en nombre important chaque année commencent à être excédés par l’action trop lente, voire inexistante, des pouvoirs publics. Une vingtaine d’entre eux a spontanément manifesté à Angers et le syndicat UNAF, autant excédé que la Confédération Paysanne, a mobilisé ses adhérents dans toute la France pour « demander au ministre de l’agriculture d’interdire certains pesticides, indépendamment d’une future décision de la Commission européenne à ce sujet ». L’urgence ne se fait d’ailleurs pas sentir qu’en Europe puisque les Etats-Unis vont jusqu’à réquisitionner des ruches pour leurs amandiers !!! Aux Etats-Unis, tout comme en Grande-Bretagne, de plus en plus de gens commencent à s’inquiéter sérieusement des conséquences des pesticides sur les abeilles…

Vigne

De petites avancées sont néanmoins à noter dans les prises de conscience des risques liés aux pesticides, notamment grâce au travail de l’ONG Générations Futures. Leur étude sortie juste au début de la semaine pour les alternatives aux pesticides, appelée enquête APACHE pour « Analyse de Pesticides Agricoles dans les CHEveux », a fait grand bruit ! La contamination des riverains des vignes par les pesticides utilisés en viticulture ressort nettement de cette étude et nous donne une raison supplémentaire de nous révolter contre les épandages aériens ! Sans parler du fait que ces produits chimiques se retrouvent bien sûr dans l’eau et dans le vin !

Eau

Nous le savions déjà mais il est nécessaire que les médias le dénoncent davantage : l’eau des rivières et des fleuves est polluée, et celle du Rhône ne fait hélas pas exception à cette règle ! Ce que nous savions moins en revanche c’est que même l’eau en bouteilles est polluée ! Quand on ne pourra plus ni respirer ni boire de l’eau, on commencera peut-être à faire marche arrière !

Pour résoudre ce problème de santé publique, bien sûr, il faudrait passer la vitesse supérieure en agriculture bio et convertir plus de surfaces ! Le Maire de Nanton (71) a d’ailleurs déploré l’absence de politique courageuse dans ce domaine à la fin de la semaine pour les alternatives aux pesticides lors d’une manifestation fin mars :
« Thierry Grosjean, président de la CAPEN 71, a planté symboliquement une croix pour dénoncer les pollutions encore trop nombreuses. Dans un texte rédigé par Alain Lechat, de l’association Sauvegarde, il a été mentionné "La France est le premier utilisateur de pesticides en Europe et le 3ème dans le monde... En Saône et Loire, 96 % des cours d’eau sont pollués, 69 % des stations prélevées en eaux souterraines présentent une contamination... Tout le secteur est sinistré". Pour le maire de Nanton, Jacky Bonin "Il faut aider les agriculteurs à remettre de la prairie ou encore à se convertir à l’agriculture biologique. Il y a un politique de petits pas, mais cela ne suffit pas !" »
vivre-a-chalon.com

Blé

Générations Futures a publié une autre étude choc récemment, appelée cette fois-ci enquête EXPPERT pour « EXposition aux Pesticides PERTurbateurs endocriniens », dans laquelle sont pointés du doigt tous les aliments de grande consommation qui contiennent du blé… et de beaux cocktails de pesticides !

Fruits

Les fruits ne font malheureusement pas exception à cette longue liste. Cette fois c’est une étude de la très controversée « EFSA » (Autorité européenne de sécurité des aliments) qui nous le dit : un fruit sur deux est contaminé… mais qu’on se rassure, toujours dans les limites autorisées ! Sauf que… sauf que… Génération Futures estime que ces chiffres sont sous-estimés pour la France

Air

Les pesticides se retrouvent aussi dans l’air que nous respirons, jusque dans les salles de classes
On devine facilement que regarder cette liste amène à se poser la question de la santé car si nous respirons, buvons et mangeons tous ces cocktails chimiques, nous en subissons forcément les conséquences à un moment donné. L’Etat vient d’ailleurs d’être condamné à indemniser un agriculteur qui avait développé un cancer !
Les médecins commencent à s’inquiéter en conséquence et cherchent à faire entendre leur voix. Une centaine de médecins du Limousin ont lancé un appel pendant la semaine pour les alternatives aux pesticides, bientôt rejoints par des collègues d’autres régions, parmi lesquels bien sûr le cancérologue Dominique BELPOMME.
Il reste à espérer que l’ANSES (Agence française de sécurité sanitaire) prenne elle aussi un jour prochain toute la mesure de ces dangers. Elle a déjà commencé à remettre en cause certaines conclusions de l’EFSA (Agence européenne de sécurité sanitaire), concernant le Bisphénol A, on peut donc espérer qu’elle continue sur cette voie !

En attendant ce jour, les élus peuvent agir eux aussi. Des élus de tous bords politiques ont créé le 27 mars un Comité des élus pour les alternatives aux pesticides. Jacques CAPLAT, de l’ONG Agir pour l’Environnement, à l’origine de cette initiative avec Générations Futures et l’UNAF, a été interviewé à ce sujet : voir la vidéo ici. Ces élus expliquent que les possibilités d’agir sont nombreuses. Il y a bien sûr les propositions de loi ou de résolution, comme celle présentée par Danielle AUROI le 28 mars dernier à l’Assemblée Nationale, ou encore celle que prépare Joël LABBE pour l’automne et qui vise à « interdire l’usage des pesticides dans les espaces publics des collectivités locales d’ici 2018 ». D’ailleurs, la loi protégeant les lanceurs d’alertes a été adoptée par le Parlement ! Quel progrès !!! Denis BAUPIN rappelle également que les élus peuvent d’ores et déjà « interdire ou instaurer des contraintes fiscales sur les pesticides ». Il existe aussi des possibilités du côté des mairies : certaines sont détaillées dans notre brochure « Ma commune face aux pesticides et aux OGM », un exemple d’Arrêté municipal est disponible sur notre site. Les zones sans pesticides peuvent ensuite être répertoriées sur une carte de France prévue à cet effet.

Bien sûr, parmi les leviers nécessaires à actionner pour une réelle efficacité, se trouve celui de l’économie. En effet, les enjeux économiques liés aux pesticides sont tels (le marché des pesticides a représenté un chiffre d’affaires de près de 2 milliard d’euros en France en 2011, et cela ne fait qu’augmenter) que le trafic de ces substances deviendrait presque aussi rentable que celui de la drogue… Sans oublier que ce marché est lié à celui des OGM, puisque concernant les mêmes firmes.

« On me dit que ça coûte, que c’est trop cher, que c’est la crise… on me dit « on va voir, on va faire une loi de santé publique… ». Mais il y a une dimension économique très peu rassurante derrière ces questions : cela n’est pas rassurant, pour un homme politique, de devoir dire qu’il va falloir globalement réduire les expositions aux polluants. Et puis tout le système économique vit de la maladie. On n’a aucun tuyau économique pour vivre de la prévention. Or il faut inverser la logique, comme les médecins chinois qui sont payés quand leurs patients sont en bonne santé. Il faut encourager la pratique du sport et encourager la consommation de produits bio, par exemple. Bien se nourrir, ça ne coûte pas cher ; bien au contraire. »
Chantal JOUANNO

Oui Madame JOUANNO, il y a bien des enjeux économiques, et pas que dans le sens dont veulent bien nous parler les firmes de l’agrochimie. Aux Antilles françaises, après la pollution des sols et des hommes c’est au tour de la mer d’être touchée par le chlordécone, pesticide utilisé dans les bananeraies. C’est donc de l’économie des pêcheurs dont il est question à présent !

Quant à la peur ou non du produit,
celle-ci ne serait pas déterminante
dans le déclenchement ou non d’une crise,
toujours selon Patrick Denoux.
La condition culturelle pour qu’une crise émerge
serait en bien plutôt liée aux dissonances
des positionnements des usagers,
entre le sentir, le faire et le penser.
Autrement dit entre le registre affectif (la peur),
cognitif (la conscience de l’existence d’un risque)
et comportemental (la prise de risque).
Des hypothèses qui permettent de dessiner des issues nouvelles :
il serait vain d’agir sur la peur ou l’absence de peur.
En revanche, « il conviendrait de limiter l’illusion de maîtrise
très prégnante dans notre culture.
Nous sommes en effet obsédés
par l’idée qu’on pourrait ne pas contrôler ce qui va advenir
et c’est alors pour nous fortement générateur d’angoisse.
Il nous faudrait également admettre
qu’évaluer le risque ne conduit pas nécessairement à le réduire.
Et que le maîtriser peut même, paradoxalement, l’accroître.
Bref, si l’on souhaite réellement agir en matière de contention du risque,
l’une des démarches les plus pertinentes
serait d’élaborer une véritable éducation à prendre des risques. »

Pesticides ? Même pas peur !

Pour terminer sur une note positive, rappelons que la semaine pour les alternatives aux pesticides a de plus en plus d’adeptes dans le monde chaque année ! Car les alternatives existent, même si elles se développent peut-être un peu moins vite en France qu’ailleurs malheureusement.

Quelques conseils de sites web en vrac :
- « Des viticulteurs jouent les paysages contre les pesticides » lesechos.fr
- 10 conseils pour changer les pratiques lacroix.fr
- Potager : les bonnes associations
- Guide d’observation et de suivi des bioagresseurs jardiner-autrement.fr
- « Jardinage bio : je fais fuir les escargots et les limaces ! » éditions La plage : laplage.fr
- 7 astuces naturelles contre les mauvaises herbes rustica.fr
- Contre les limaces : ce qui marche vraiment gerbeaud.com

Agriculture bio, alimentation et autres

Agriculture bio

- Enquête de l’INRA sur la compétitivité de l’agriculture biologique française
- Un site très intéressant à visiter sur l’élevage giezoneverte.com

- Comment contrer les arguments « anti-bio » : certains arguments en effet sont assez difficiles à analyser et donc à contrer, notamment car ils surfent sur la peur des gens, qui n’est bien sûr pas rationnelle. Petit article d’auto-défense sur l’excellent site reporterre.net
« L’agriculture bio assure des rendements moindres et nécessite de ce fait l’exploitation de plus grandes surfaces pour produire une même quantité d’aliments. Résultat, son impact sur la biodiversité serait tout aussi significatif que celui de l’agriculture conventionnelle ». Relisez bien la phrase. On nage en plein sophisme. On est en train de nous dire qu’il vaut mieux bousiller une portion réduite de terre en haut rendement, plutôt que de développer le bio sur des grandes surfaces. Parce que de grandes surfaces cultivées, même en bio, porteront toujours atteintes à l’environnement. Désespérant.

- L’AB : espoir ou chimère ? Vidéo (1h30) du « débat controverse » qui a eu lieu à l’occasion de la sortie du livre.
- L’agriculture bio : une arme anti-inondations mangerbiocestmieux.fr
- 600 000 emplois créés si on mangeait local... reporterre.net
- Le réseau agriculture biologique de l’enseignement agricole reseau-formabio.educagri.fr
- Alternatives en musique « Les potes à Jé »
- Ces Robins des bios des temps modernes qui font renaître les fermes… grâce à Terre de Liens télérama.fr
- L’endroit le plus dangereux au monde est le supermarché épisode 2 Extrait du magazine de la santé (11 min)
- Histoire de blé Le dernier film de Graines de Noé avec Bernard RONOT (26 min)
- Politique Agricole Commune : quelle influence des lobbies dans la tentative de réforme de la PAC ? novethic.fr

Trocs, dons…

- Graines grainesdetroc.fr
- Payez votre café avec des herbes, une idée originale ! shamengo.com

- Echanges divers : jardinage, cuisine…
« Nous avons créé le site www.cuisinetonjardin.com avec mon épouse, il s’agit pour l’instant un site d’annonces lié à l’univers du jardinage et de la cuisine qui sont complémentaires, sur le même principe que le site du « bon coin » mais spécialisé : préparer, aménager et cultiver son jardin, valoriser ses récoltes, partager de bons petits plats maison, favoriser les échanges locaux, manger sain, faire des économies… Il y a 3 modes : vente, échange, don dans diverses catégories. Pour passer ses annonces c’est bien sûr gratuit, pour nous suivre sur Facebook c’est ici. D’autres services vont arriver, comme une base de données de « recettes locales ». C’est un site amateur, merci d’en parler autour de vous, merci d’avance ? JR BAUDUIN »

- Institut de l’Economie Circulaire : Intervention de Coline SERREAU, marraine de l’Institut, lors de la réunion de lancement le 6 février à l’Assemblée Nationale

Alimentation

- Agro-alimentaire : le nouveau défi d’Oxfam novethic.fr
Dans sa nouvelle campagne La face cachée des marques, Oxfam demande aux multinationales de l’agro-alimentaire d’engager leur responsabilité sur des nouveaux sujets : la place des femmes dans leurs filières d’approvisionnement, le respect des droits fonciers et l’inclusion des petits paysans. L’ONG juge plus sévèrement Danone que Nestlé et Coca-Cola.

- Bonbons, guimauves et glaces au titane beurk.com
Dans l’industrie alimentaire, les nanoparticules fournissent nutriments et vitamines, intensifient les arômes, servent de conservateur, d’épaississant, de colorant… Grist TWILIGHT GREENAWAY journaliste qui s’intéresse de près aux nanoparticules dans l’alimentation : « Ce qui m’a le plus surprise, c’est d’entendre combien de produits alimentaires contiennent déjà des nanoparticules. On y apprend ainsi qu’elles sont utilisées pour purifier l’eau, comme agent antiagglomérant et gélifiant et dans les emballages pour protéger contre les UV, éviter la multiplication des microbes ou détecter une éventuelle contamination. » […] « Comme avec les OGM, la stratégie semble être : premièrement, les diffuser dans les produits alimentaires en masse ; et évaluer les risques ensuite (ou jamais). »

- Bientôt du vin végétalien ! neo-planete.com
« Selon un article de Libération.fr de février 2013, les vignerons seront bientôt contraints de mentionner sur leurs étiquettes la présence de tout ingrédient susceptible de déclencher des allergies, œufs et lait en première ligne. L’occasion pour eux de commencer à réfléchir sérieusement à du vin végétarien, et même végétalien. »

- Dix bonnes raisons de manger bio maisonsaine.ca
- Manger 100% bio avec 10€ par jour, c’est possible rue89.com
- Un livre à offrir : 100 réflexes pour manger bio et pas cher
- Petit guide pratique pour mieux comprendre les produits bio bioaddict.fr
- A Bouvron, dans la cantine à l’assiette 100 % bio terraeco.net
- Mangez vos mauvaises herbes ! le sens de l’humus
- Lasagnes au cheval : pour éviter les fraudes, rapprochez-vous de la vache bioconsomacteurs.org
- Collection « Cuisine bio » des éditions La plage laplage.fr
- Les fruits et légumes d’avril recettes-cuisine-bio.fr
- Deux sites avec des recettes alléchantes ! lasupersuperette.com et monpetitcoindecuisine.fr
- Goûtons un monde meilleur ! un site à visiter ! goutons-un-monde-meilleur.fr
- Rapport sur la consommation responsable (mescoursespourlaplanete.com) : « Plus de bio, de commerce équitable et de made in France. » terraeco.net

Comprendre les étiquettes

- Qu’est-ce que l’E428 ou E441, ou gélatine ? terraeco.net
- Que sont les carraghénanes ou E407 ? terraeco.net
- 14 colorants alimentaires à éviter lanutrition.fr

Gaspillage alimentaire

- Les dates de péremption remises en question shamengo.com
- Une vidéo qui se passe de commentaires…
- « 1 poule consomme près de 150 kg de déchets alimentaires par an, 1 000 poules ce sont 150 t de déchets en moins, soit 15 000 € économisés sur l’incinération... » goodplanet.info

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Lettre d’information d’avril 2013